Arrivée avec sa famille à Bristol, en août 2019, Delphine a profité de ce temps d’expatriation pour se réorienter professionnellement. Elle nous raconte ici son parcours.

Bonjour Delphine et merci de répondre à ces quelques questions pour l’ExpatFamily UK. Peux-tu te présenter ?
Bonjour ! Je m’appelle Delphine Outurquin Scholl. J’ai 47 ans. J’ai vécu de mes 6 à mes 18 ans en Normandie. J’ai étudié deux ans en Allemagne et vécu ensuite en France, principalement à Marseille et Paris.
J’ai exercé plusieurs métiers : commerciale, consultante Systèmes d’info RH, cheffe de Projets AMOA, responsable Administration du Personnel, Paie et SIRH. Et ce, dans différents secteurs d’activité : conseil, compagnie maritime, immobilier social, Presse et directions (DSI, DRH).
David et moi avons deux enfants de bientôt 11 et 9 ans.
Pourquoi avez-vous décidé de tenter cette expérience de l’expatriation ?
Nous avions envie de quitter la France pour la découverte d’une nouvelle culture, sans toutefois nous éloigner beaucoup de nos proches. C’était aussi sortir de notre zone de confort. Nous pensions que l’expérience serait enrichissante pour toute la famille, notamment les enfants.

Avais-tu des a priori sur les anglais ou la culture anglaise ?
Je n’avais pas spécialement d’a priori sur les Anglais. J’étais même étonnée de la réaction de certains Français à l’annonce de notre expatriation en Angleterre, se montrant sceptiques quant à notre choix.
Il n’est pas forcément facile d’établir des liens d’amitié avec les Anglais et sans doute pour plusieurs raisons. Nombre d’entre eux vivent ici depuis des années avec famille et amis de longue date et ils savent également que la majorité des Français sont là uniquement pour quelques années.
Un premier bilan de ton actuelle expatriation ?
Le bilan est positif malgré les bâtons dans les roues occasionnés par la COVID. Nous apprécions beaucoup la ville de Bristol, cette ville chargée d’histoire mais tournée vers un futur ambitieux (« Fair, healthy and sustainable city »), ayant préservé de grands espaces verts et dotée d’une offre culturelle conséquente au regard de sa taille.
Chacun dans la famille suit son bonhomme de chemin et a trouvé son équilibre.

As-tu des conseils à partager aux nouveaux arrivants ?
Quand on arrive en famille, les premiers mois sont bien remplis. Mais je pense que cela vaut la peine de prioriser l’acquisition d’une bonne aisance en anglais… si ce n’est pas déjà le cas.
Mieux maitriser l’anglais m’a ainsi donné confiance pour aborder différents types d’entretiens plus ou moins formels.
J’ai d’abord pris des cours collectifs d’anglais au centre de Bristol, 2 fois par semaine au City College of Bristol et je continue encore aujourd’hui d’en prendre avec une professeure d’anglais privée.
L’avantage de s’installer dans une ville comme Bristol où la communauté française est importante, est la facilité de se faire rapidement des relations et amis. L’inconvénient est le risque de ne côtoyer quasiment que des Français… ce qui peut rendre l’expérience d’expatriation moins intéressante.
Pour les conjoints d’expatriés ayant travaillé en France, n’oubliez pas de vous affilier à la CFE si vous souhaitez cotiser à la retraite. Nous sommes plusieurs à avoir procrastiné quant aux démarches… Attention, il n’y a pas de rétroactivité possible. Le mieux est de se renseigner avant même le départ de France pour pouvoir cotiser un trimestre entier. Vous pouvez retrouver toutes les informations sur l’excellent blog d’Expat Family UK : Cotisation volontaire de retraite (expatfamilyuk.blogspot.com)
Quels sont tes projets pour 2022 ?
Continuer mon master et persévérer dans ma réorientation professionnelle. Poursuivre la découverte de Bristol, des environs et au-delà…
Et bien-sûr, veiller au bien-être de ma famille !
Encore merci, Delphine ! Nous te souhaitons une belle réussite dans ton Master et ton futur projet professionnel.
Toboggan naturel de Clifton (Bristol) - Angleterre
Bonjour Delphine et merci de répondre à ces quelques questions pour l’ExpatFamily UK. Peux-tu te présenter ?
Bonjour ! Je m’appelle Delphine Outurquin Scholl. J’ai 47 ans. J’ai vécu de mes 6 à mes 18 ans en Normandie. J’ai étudié deux ans en Allemagne et vécu ensuite en France, principalement à Marseille et Paris.
J’ai exercé plusieurs métiers : commerciale, consultante Systèmes d’info RH, cheffe de Projets AMOA, responsable Administration du Personnel, Paie et SIRH. Et ce, dans différents secteurs d’activité : conseil, compagnie maritime, immobilier social, Presse et directions (DSI, DRH).
David et moi avons deux enfants de bientôt 11 et 9 ans.
Pourquoi avez-vous décidé de tenter cette expérience de l’expatriation ?
Nous avions envie de quitter la France pour la découverte d’une nouvelle culture, sans toutefois nous éloigner beaucoup de nos proches. C’était aussi sortir de notre zone de confort. Nous pensions que l’expérience serait enrichissante pour toute la famille, notamment les enfants.
Tenby – Pays de Galles
Je n’avais pas spécialement d’a priori sur les Anglais. J’étais même étonnée de la réaction de certains Français à l’annonce de notre expatriation en Angleterre, se montrant sceptiques quant à notre choix.
Il n’est pas forcément facile d’établir des liens d’amitié avec les Anglais et sans doute pour plusieurs raisons. Nombre d’entre eux vivent ici depuis des années avec famille et amis de longue date et ils savent également que la majorité des Français sont là uniquement pour quelques années.
Il m’a tout de même été possible de nouer des liens sincères avec certains, notamment par le biais d’activités sportives, de bénévolats et des parents d’élèves.
Comment as-tu vécu ton arrivée en Angleterre ?
Notre arrivée à Bristol s’est bien passée au niveau logistique car nous avons eu la chance de pouvoir louer une maison que quittait une famille d’expatriés rentrant en France.
Les enfants étaient déjà inscrits à Clifton High School, à 5 minutes à pied de notre domicile.
Tes enfants ont-ils réussi à bien s’intégrer ?
Ce qui a été plus difficile que prévu est la réaction hostile de notre ainé et la longueur de la période pendant laquelle les enfants ne comprenaient ni ne parlaient la langue. J’avais entendu que les enfants, dans un pays étranger, s’adaptaient très vite et apprenaient très rapidement la langue… Selon l’âge, le profil des enfants, le contexte, ce n’est pas tout à fait cela ! Il leur aura fallu un an pour être à l’aise.
Notre ainé a eu beaucoup de mal à accepter notre décision de venir s’installer en Angleterre. Il est resté littéralement en colère pendant les neufs premiers mois et décrétait ne pas vouloir apprendre l’anglais. Son comportement s’est amélioré « curieusement » pendant le premier confinement de mars 2020, six mois après notre arrivée.
Cela a été beaucoup plus facile pour notre cadette.
Et aujourd’hui, sont-ils contents d’être en Angleterre ?
Aujourd’hui, les enfants sont bien dans leur peau, plein de confiance en eux. Ils apprécient les diverses activités sportives, musicales et clubs proposés par l’école. Ils s’expriment avec un bel accent en anglais et se sont faits des amis français et anglais.
Poursuivez-vous le cursus français ?
Oui, les enfants suivent le cursus complément scolarité internationale du CNED (mathématiques et français) grâce aux tutorats assurés par les enseignantes de Fast Tutoring, dans leur école et sur leur journée de travail. Ce cursus n’est pas toujours facile à intégrer dans des semaines et week-end déjà bien chargés. Cependant, cela leur permet de poursuivre leur apprentissage du français et ce, sans que nous, parents ayons à le prendre en charge !
Comment as-tu vécu ton arrivée en Angleterre ?
Notre arrivée à Bristol s’est bien passée au niveau logistique car nous avons eu la chance de pouvoir louer une maison que quittait une famille d’expatriés rentrant en France.
Les enfants étaient déjà inscrits à Clifton High School, à 5 minutes à pied de notre domicile.
Tes enfants ont-ils réussi à bien s’intégrer ?
Ce qui a été plus difficile que prévu est la réaction hostile de notre ainé et la longueur de la période pendant laquelle les enfants ne comprenaient ni ne parlaient la langue. J’avais entendu que les enfants, dans un pays étranger, s’adaptaient très vite et apprenaient très rapidement la langue… Selon l’âge, le profil des enfants, le contexte, ce n’est pas tout à fait cela ! Il leur aura fallu un an pour être à l’aise.
Notre ainé a eu beaucoup de mal à accepter notre décision de venir s’installer en Angleterre. Il est resté littéralement en colère pendant les neufs premiers mois et décrétait ne pas vouloir apprendre l’anglais. Son comportement s’est amélioré « curieusement » pendant le premier confinement de mars 2020, six mois après notre arrivée.
Cela a été beaucoup plus facile pour notre cadette.
Et aujourd’hui, sont-ils contents d’être en Angleterre ?
Aujourd’hui, les enfants sont bien dans leur peau, plein de confiance en eux. Ils apprécient les diverses activités sportives, musicales et clubs proposés par l’école. Ils s’expriment avec un bel accent en anglais et se sont faits des amis français et anglais.
Poursuivez-vous le cursus français ?
Oui, les enfants suivent le cursus complément scolarité internationale du CNED (mathématiques et français) grâce aux tutorats assurés par les enseignantes de Fast Tutoring, dans leur école et sur leur journée de travail. Ce cursus n’est pas toujours facile à intégrer dans des semaines et week-end déjà bien chargés. Cependant, cela leur permet de poursuivre leur apprentissage du français et ce, sans que nous, parents ayons à le prendre en charge !
Les maths enseignées en Angleterre utilisent une autre approche et forcément un vocabulaire différent. Nous espérons ainsi faciliter « l’atterrissage » lors de notre retour en France!
Que fais-tu ici ?
Suite à notre installation à Bristol, j’ai cherché du travail dans mon domaine pendant quelques mois et me suis rendu compte que ce serait difficile sans expérience, ni de la réglementation Paie et RH du Royaume-Uni, ni de ses systèmes informatiques, ni encore de leur terminologie. En persistant et après avoir amélioré mon oral en anglais, j’aurais peut-être pu décrocher un job d’employé et progresser ensuite rapidement.
Mais j’ai préféré saisir l’opportunité de cette expatriation pour me réorienter professionnellement. En effet, ayant pris conscience de l’ampleur de la crise climatique et environnementale, je ressentais le besoin d’exercer une activité professionnelle, contribuant à en traiter certains de ses aspects, et ce, même à une échelle modeste.
Afin de faciliter cette réorientation, j’ai choisi d’étudier le MSc Sustainable Development in Practice à UWE (University of the West of England). Les diplômes des universités en Angleterre sont mondialement reconnus. En 2019 / 2020, mes frais d’inscription ont été du même montant que ceux appliqués aux Anglais et ressortissants européens. Depuis le Brexit, les Français sont soumis aux frais dus par les ressortissants internationaux.
Contrairement à l’University of Bristol, l’autre université de la ville, UWE proposait un programme composé de modules orientés vers la pratique professionnelle plus que vers de la recherche.
J’ai donc opté pour un suivi de ce master en temps partiel, c’est-à-dire sur un peu plus de deux ans.
Un bon niveau d’anglais est requis (certificat d’examen ou tests d’entrée réalisés par UWE).
J’ai constitué un dossier de candidature comportant mes diplômes français qui m’ont permis d’accéder au niveau Post-graduate et d’intégrer directement un master. Le dossier comportait aussi deux lettres de référence, une lettre de motivation, un descriptif du parcours professionnel et le certificat d’examen de langue anglaise (C1 >272)
J’ai commencé en janvier 2021 (rentrée retardée de quatre mois par la Covid-19). Je n’ai eu malheureusement que des cours en ligne jusqu’en mai, période à laquelle une majorité de cours est repassée en amphi sur le campus de Frenchay (au nord de Bristol, à 35 min de vélo depuis Clifton). Je ne regrette pas ce choix. J’apprends beaucoup et me suis laissée le temps de compléter mon cursus avec des volontariats : au « community garden » de Grow Wilder et à la Square Food Foundation.
Je souhaite me spécialiser dans le domaine de la « Food Sustainability » c’est à dire l’optimisation de nos systèmes alimentaires pour plus de biodiversité dans les champs, moins de Gaz à effet de serre dans l’atmosphère et une meilleure santé pour les hommes et la planète. Mon projet professionnel est encore un peu vague à ce stade.
Que fais-tu ici ?
Suite à notre installation à Bristol, j’ai cherché du travail dans mon domaine pendant quelques mois et me suis rendu compte que ce serait difficile sans expérience, ni de la réglementation Paie et RH du Royaume-Uni, ni de ses systèmes informatiques, ni encore de leur terminologie. En persistant et après avoir amélioré mon oral en anglais, j’aurais peut-être pu décrocher un job d’employé et progresser ensuite rapidement.
Mais j’ai préféré saisir l’opportunité de cette expatriation pour me réorienter professionnellement. En effet, ayant pris conscience de l’ampleur de la crise climatique et environnementale, je ressentais le besoin d’exercer une activité professionnelle, contribuant à en traiter certains de ses aspects, et ce, même à une échelle modeste.
Afin de faciliter cette réorientation, j’ai choisi d’étudier le MSc Sustainable Development in Practice à UWE (University of the West of England). Les diplômes des universités en Angleterre sont mondialement reconnus. En 2019 / 2020, mes frais d’inscription ont été du même montant que ceux appliqués aux Anglais et ressortissants européens. Depuis le Brexit, les Français sont soumis aux frais dus par les ressortissants internationaux.
Contrairement à l’University of Bristol, l’autre université de la ville, UWE proposait un programme composé de modules orientés vers la pratique professionnelle plus que vers de la recherche.
J’ai donc opté pour un suivi de ce master en temps partiel, c’est-à-dire sur un peu plus de deux ans.
Un bon niveau d’anglais est requis (certificat d’examen ou tests d’entrée réalisés par UWE).
J’ai constitué un dossier de candidature comportant mes diplômes français qui m’ont permis d’accéder au niveau Post-graduate et d’intégrer directement un master. Le dossier comportait aussi deux lettres de référence, une lettre de motivation, un descriptif du parcours professionnel et le certificat d’examen de langue anglaise (C1 >272)
J’ai commencé en janvier 2021 (rentrée retardée de quatre mois par la Covid-19). Je n’ai eu malheureusement que des cours en ligne jusqu’en mai, période à laquelle une majorité de cours est repassée en amphi sur le campus de Frenchay (au nord de Bristol, à 35 min de vélo depuis Clifton). Je ne regrette pas ce choix. J’apprends beaucoup et me suis laissée le temps de compléter mon cursus avec des volontariats : au « community garden » de Grow Wilder et à la Square Food Foundation.
Je souhaite me spécialiser dans le domaine de la « Food Sustainability » c’est à dire l’optimisation de nos systèmes alimentaires pour plus de biodiversité dans les champs, moins de Gaz à effet de serre dans l’atmosphère et une meilleure santé pour les hommes et la planète. Mon projet professionnel est encore un peu vague à ce stade.
En parallèle de cette réorientation et de mon bénévolat dans des associations anglaises, je suis également membre de l’association Expatfamily UK. Cela m’a permis de faire la connaissance de nombreuses français.es hyper dynamiques et investies et aussi de m’impliquer, à hauteur de mes disponibilités, dans la création du blog et de la team Event.
As-tu eu l’occasion de visiter le Royaume-Uni ?
Nous avons passé une semaine en Cornouailles, sur la péninsule de Penzance. Les plages sont magnifiques : eau turquoise et sable fin. Le seul hic est la température, même en plein été ! Et il fallait tout réserver bien à l’avance. Depuis 2 ans, les Cornouailles connaissent une affluence record !

L’été 2021, nous avons aussi passé une semaine à Londres, dans un appartement près de Hyde Park, ce qui n’était pas de trop tant les quartiers, les musées et autres monuments à visiter sont nombreux. J’ai été aussi surprise par la taille et le nombre d’espaces verts en comparaison de Paris. La ville était peut-être aussi plus agréable qu’habituellement en raison de sa baisse de fréquentation due aux restrictions COVID.
As-tu eu l’occasion de visiter le Royaume-Uni ?
Nous avons passé une semaine en Cornouailles, sur la péninsule de Penzance. Les plages sont magnifiques : eau turquoise et sable fin. Le seul hic est la température, même en plein été ! Et il fallait tout réserver bien à l’avance. Depuis 2 ans, les Cornouailles connaissent une affluence record !
Péninsule de Penzance – Angleterre
L’été 2021, nous avons aussi passé une semaine à Londres, dans un appartement près de Hyde Park, ce qui n’était pas de trop tant les quartiers, les musées et autres monuments à visiter sont nombreux. J’ai été aussi surprise par la taille et le nombre d’espaces verts en comparaison de Paris. La ville était peut-être aussi plus agréable qu’habituellement en raison de sa baisse de fréquentation due aux restrictions COVID.
Tower Bridge (Londres) - Angleterre
Un premier bilan de ton actuelle expatriation ?
Le bilan est positif malgré les bâtons dans les roues occasionnés par la COVID. Nous apprécions beaucoup la ville de Bristol, cette ville chargée d’histoire mais tournée vers un futur ambitieux (« Fair, healthy and sustainable city »), ayant préservé de grands espaces verts et dotée d’une offre culturelle conséquente au regard de sa taille.
Chacun dans la famille suit son bonhomme de chemin et a trouvé son équilibre.
Stoke Park, un des nombreux espaces verts protégés à Bristol - Angleterre
As-tu des conseils à partager aux nouveaux arrivants ?
Quand on arrive en famille, les premiers mois sont bien remplis. Mais je pense que cela vaut la peine de prioriser l’acquisition d’une bonne aisance en anglais… si ce n’est pas déjà le cas.
Mieux maitriser l’anglais m’a ainsi donné confiance pour aborder différents types d’entretiens plus ou moins formels.
J’ai d’abord pris des cours collectifs d’anglais au centre de Bristol, 2 fois par semaine au City College of Bristol et je continue encore aujourd’hui d’en prendre avec une professeure d’anglais privée.
L’avantage de s’installer dans une ville comme Bristol où la communauté française est importante, est la facilité de se faire rapidement des relations et amis. L’inconvénient est le risque de ne côtoyer quasiment que des Français… ce qui peut rendre l’expérience d’expatriation moins intéressante.
Pour les conjoints d’expatriés ayant travaillé en France, n’oubliez pas de vous affilier à la CFE si vous souhaitez cotiser à la retraite. Nous sommes plusieurs à avoir procrastiné quant aux démarches… Attention, il n’y a pas de rétroactivité possible. Le mieux est de se renseigner avant même le départ de France pour pouvoir cotiser un trimestre entier. Vous pouvez retrouver toutes les informations sur l’excellent blog d’Expat Family UK : Cotisation volontaire de retraite (expatfamilyuk.blogspot.com)
Quels sont tes projets pour 2022 ?
Continuer mon master et persévérer dans ma réorientation professionnelle. Poursuivre la découverte de Bristol, des environs et au-delà…
Et bien-sûr, veiller au bien-être de ma famille !
Encore merci, Delphine ! Nous te souhaitons une belle réussite dans ton Master et ton futur projet professionnel.
Propos recueillis par Jessica Ung, en Février 2022
Merci Jessica de ce beau portrait de Delphine. Thien An etait dans la meme classe que Noemie et avait de beaux souvenirs avec elle a CHS. C'est superbe ton cursus a UWE, je te souhaite beaucoup de succès dans ta formation et ton projet professionnel par la suite.
RépondreSupprimerBravo Delphine une belle aventure anglaise dans laquelle tu t'es investis sur tous les fronts je n'oublierais pas nos débuts ensemble Aude
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